Deux jours après sa démission, l'ancien ministre des affaires extérieures des Comores a montré son vrai visage, en laissant penser qu'il était aux affaires pour les intérêts de son cousin AZALI et non ceux des comoriens. Jusqu'à là, on en doutait pas, mais le crier sur les toits c'est encore un degré de plus sur l'échelle de la vantardise.
Interrogé sur Mayotte 1ere sur la raison pour laquelle, il a démissionné, sa réponse a surpris plus d'un : « lorsque je suis devenu ministre, on m'a confié quelles missions à remplir, pari lesquelles l'organisation des assises, du référendum, des élections présidentielles et en même temps les relations avec la France ce sont améliorées car au niveau de la coopération, l'aide de la France octroyée annuellement aux Comores, est passé de 4 millions d'euros à 150 millions.
M. Elamine, certes, a permis l'augmentions du volume d'aide, mais il a oublié de rappeler la contre partie sur cette aide qui n'est que l'ile de Mayotte. Dans cet accord cadre de coopération entre Comores et la France, il est prévu l'implantation d'un poste militaire d'observation sur l'ile d'Anjouan, c'est une nouvelle forme de recolonisation. De même qu'un comorien peut poursuivi dans son propre pays par la justice française. Il a également oublié de dire que dans cet accord, les français ont l'autorisation de reprendre les expulsions des comoriens se trouvant sur l'ile de Mayotte, qui partie intégrante des Comores. Alors, ce Monsieur a oublié qu'il a dentelé l'intégrité territoriale de son pays à la France, moyennant de l'argent. Le pire ce qu'il en ait fier !
Une autre question en quoi AZALI avait besoin de lui pour organiser les assises, le référendum, les élections et le changement de la constitution ? Enfin, c'est la 1ere fois qu'un ministre s'invente pour avoir vendu son pays.
La vérité sur sa démission : cela relève d'un calcul machiavélique ordi entre lui et AZALI. Constatant ces derniers temps que le régime est chancelant, positionner Bolero ou Msaidié, c'est s'assurer du soutien de la France au régime Gozibi. Si Boléro a eu la médaille de la légion d'honneur, Elamine Souef la mérite encore.
Mbadakome1