
Aujourd'hui à Beit-salam, le propos du grand mufti, M.Aboubacar Said Abdillah Djamalilayil, a heurté dieu et les comoriens.
Devant un parterre majoritaire convaincue, l'homme de dieu, le 1er des comoriens a accusé l'ancien président SAMBI, dans son allocution, d'être l'ennemi de du pays : « Il aurait rependu le désordre dans notre pays, en introduisant la drogue, la l'alcool. Toujours selon lui, l'homme d'affaire Libanais, M. Bachar Karaziwan introduisait aux Comores sous le règne de SAMBI, de la drogue aux Comores qui transitait pour la France. »
C'est une déclaration lourde de conséquences spirituelles et humaines. Elle a fait sortir le grand mufti de son rôle de représentant de dieu pour rentrer dans la robe d'un procureur de la république... C'est une 1ere, dans l'histoire de notre pays, c'est la 1ere fois que le guide religieux s'improvise procureur de la république et il ne faut pas s'étonner voir que demain le président AZALI sort un décret présidentiel portant nomination : le procureur-mufti de la république. Ainsi il est clair que dans sa quête de dieu, il vient de rajouter une corde à son arc , en endossant le costume de Colombo.
Mais de quel pays où la paix régnait avant SAMBI, parle-t-il ? On dirait que notre cher mufti voulait parler du paradis et non des Comores ?
N'est-ce pas sous AZALI que la débauche sexuelle s'est développée ? N'est ce pas pendant ce même règne qu'il y a eu les films pornos, les viols des enfants et les faux billets. Alors de quel pays parle-t-il?
En tout cas cette sortie nous prouve que dieu en a marre de l'hypocrite des comoriens.
Mbadakome1
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