
Lorsque votre adversaire ou votre ennemi marque des points et prend l'ascendant sur vous, la moindre chose est d'avoir le courage et l'honnêteté de le reconnaître et c'est ce qu'on appelle un bon perdant.
Cela n'échappe à personne que le Service des Renseignements Comoriens (SRC) dirigé par Fakri Mradabi alias Edgar Hoover est aujourd'hui au-dessus du MOSAD et de la CIA, selon Interpol. Ce succès est le résultant d'un travail acharné effectué par celui qu'on surnomme aujourd'hui Edgar Hoover comorien, M.Fakri Mradabi. Depuis sa nomination au poste de pitsikili, Il a démantelé une pléthore de tentatives de putsch et maintenant avec une main de maitre l'opposition dans la diaspora est sous contrôle.
La preuve en est qu'aujourd'hui la diaspora est complètement implosée : Le collectif de Marseille est divisée en deux parties. Entres elles, la première continue de manifester et l'autre acquise par le pouvoir d'Azali est inactive depuis longtemps.
Au niveau du collectif de Paris, toujours la même situation, les mouvements sont sous contrôle, comme c'est le cas du FTD, du FUDA, tous téléguidés par certaines personnes infiltrées par le réseau de Fakri Mradabi.
Alors que nous approchons de la fin de la dictature, il y a des fortes chances que le service des renseignements comoriens sauve le système dictatorial d'Azali, c'est son dernier rempart.
Ce qui est clair, la bataille qui oppose ceux qui dénoncent les collabos et les patriotes a déjà commencé. Les premiers sont regroupés au niveau du FTD et le Pacte du FUDA et les autres sont dans le Front Commun des Forces Vives. Ces derniers ces regroupements où les collabos pullulent, une logique de sabotage s'imposée contre toute organisation de l'opposition dans la diaspora. Avec toute cette tambouille, un boulevard s'est ouvert devant Azali pour passer la barrière de l'an 2021, malgré les résistances internes. Mais où sont les Comores si les responsables de l'opposition du pays cautionnent les collaborateurs du régime?
D'ailleurs, le parti JUWA encore imposition et cela grâce aux services de renseignement comoriens.
Mais peut-on voir la victoire contre la dictature ? Au pays, Les vrais résistants sont DAULA YA HAKI et Mdzadzé Mwendza Yirumbé. Que la lutte continue quand même.
Mdjasiri